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    Le Parisien

    La presse en parle
    2 octobre 2012
    Primexis Actualtiés

    Avec Phillipe Doray, Directeur du contrôle chez Oeneo et Bénédicte Jaunatre, collaboratrice.

    Expert-Comptable : un métier d’avenir… et qui recrute !

    L’expertise comptable est un métier de conseil en pleine évolution avec, notamment, une extension du domaine d’intervention vers les particuliers. C’est également un métier qui offre de nombreuses opportunités d’emploi et qui enregistre, chaque année, 1 000 nouveaux experts-comptables diplômés.

    L’éthique, la compétence et la sécurité : c’est la marque de l’expert-comptable.

    Agnès Bricard, Présidente de l’Ordre des Experts-Comptables, ne cesse de mettre cette empreinte en exergue. Et depuis quelques années, l’image austère du technicien du chiffre a nettement été dépoussiérée, pour une mise en valeur de l’ADN même de la profession qui est d’être un acteur essentiel du conseil aux entreprises et du débat social.

    Fondée par l’Ordonnance de 1945, la profession comptable libérale est le premier réseau de conseil aux entreprises.

    Avec la comptabilité et la fiscalité, l’accompagnement social est devenu son troisième grand pôle de compétence : conseil sur les procédures de recrutement, évaluation du coût d’une embauche, plans de formation ou de rémunération du personnel, étude des différents dispositifs d’épargne salariale…

    On compte aujourd’hui 19 000 experts comptables avec près de 150 000 collaborateurs. Chaque expert-comptable travaille en moyenne avec une centaine d’entreprises, ce qui représente environ 2 millions d’entreprises. Or en France, il y a 2,5 millions d’entreprises (si l’on excepte les 900 000 autoentrepreneurs). Quatre entreprises sur cinq font donc appel à un expert-comptable. Il s’agit là, sans conteste, d’un très fort taux de pénétration.

    La compétence est l’alpha et l’omega de ce métier. Outre la formation continue de 40 heures par an, l’expert-comptable est sujet à des contrôles qualité : environ 600 contrôleurs interviennent dans les cabinets pour s’assurer de la bonne application des règles.

    « La déontologie est une valeur forte de notre profession » souligne Agnès Bricard qui précise que les chefs d’entreprises qui bénéficiaient d’une couverture d’assurance en cas de manquement de leurs experts comptables, fautes ou absence de conseil, peuvent souscrire un produit d’assurance santé créé par l’Ordre des Experts-Comptables.

    Ce contrat est proposé par plusieurs compagnies d’assurance (Chartis, Hiscox, Axa, Covea Risk, Groupama et Aon). Celle-ci favorise le recours aux dispositifs de prévention des difficultés et finance les honoraires des experts de crise (expertscomptables, avocats). Par exemple, pour 120 € de cotisation annuelle, 6 000 € d’honoraires sont pris en charge.

    « Pour protéger leur tissu économique local, les Maires, les Conseils Généraux et Régionaux devraient encourager et communiquer sur cette assurance auprès des entreprises », suggère Agnès Bricard.

    Une offre qui s’étend aussi aux particuliers

    La Loi de Modernisation des professions judiciaires ou juridiques et de certaines professions réglementées, votée le 28 mars 2011, consacre officiellement le rôle des experts-comptables dans l’assistance des particuliers dans leurs démarches déclaratives à caractère fiscal (Impôt sur le revenu, ISF), social et administratif, ainsi que dans la gestion de patrimoine.

    L’expert-comptable établit ainsi un bilan (inventaire et analyse du patrimoine), mène un audit pour étudier les forces et faiblesses de la situation du particulier (propriété des revenus, retraite, donation), met en place une stratégie (formulation des objectifs, élaboration des stratégies pertinentes et évaluation de leur conséquences sur le patrimoine), puis examine les produits existants sur le marché et oriente son client particulier vers les professionnels concernés pour la mise en place de la stratégie.

    Outre la fiscalité personnelle et la gestion patrimoniale, l’expert-comptable se spécialise également dans le service à la personne et dans l’assistance.

    « Le service à la personne est en pleine réflexion, surtout pour les personnes dépendantes, souligne Agnès Bricard. Le maintien à domicile ne peut être appuyé que par la lutte contre les prédateurs. Cela exige de protéger ces personnes dépendantes. Il faut les sécuriser physiquement, financièrement et intellectuellement. »

    « L’agence nationale du service à la personne cherche un réseau, précise Joseph Zorgniotti, prédécesseur d’Agnès Bricard au poste de Président de l’Ordre et « père » de la loi 2011. Or le réseau des experts-comptables est le réseau idoine. Le triptyque du service à la personne, c’est le notaire, l’avocat et l’expert-comptable. Nous sommes tout à fait complémentaires et nous devons travailler ensemble. »

    De nombreux recrutements

    C’est un métier terriblement vivant puisque l’on passe d’un secteur professionnel à un autre, avec des entreprises de tailles différentes et des personnalités de chefs d’entreprises très distinctes également.

    Les experts-comptables sont des gens fondamentalement à l’écoute de leur client avec une fine psychologie, l’aspect humaniste étant essentiel dans
    l’environnement économique actuel.

    « L’expert-comptable, c’est la proximité auprès des entreprises, le conseil privilégié des chefs d’entreprises des PME et TPE, explique Françoise Berthon, Présidente de l’Ordre des Experts-Comptables Région Paris IDF. Nous sommes les « médecins généralistes » de l’entreprise. Nous sommes là dès qu’il y a un problème de stratégie ou de moyens financiers par exemple. » D’où le besoin de recruter de nouveaux talents pour venir renforcer les rangs de la profession.

    A quoi vous sert votre expert-comptable ?

    Fabienne Grannière, 38 ans – Fonctionnaire

    Les experts-comptables peuvent désormais aussi conseiller les particuliers pour leurs déclarations fiscales. Etant donné que j’ai eu, il y a peu, un gros bouleversement dans ma vie personnelle qui a impacté ma situation patrimoniale et fiscale, j’ai décidé de faire appel à l’un d’entre eux. Je l’ai choisi en allant sur l’annuaire www.experts-comptables.fr. Ses conseils avisés me permettent aujourd’hui d’envisager l’avenir avec un peu plus de sérénité.

    Philippe Doray, 45 ans – Directeur de contrôle chez Oeneo (ETI)

    Le groupe Oeneo, dans lequel je travaille, est un acteur majeur de la filière viticole avec un chiffre d’affaires de 130 millions d’euros et 500 salariés. Le recours à un expert-comptable est désormais indispensable. Son rôle est capital, surtout depuis que nous sommes coté en Bourse. Il nous accompagne lors des émissions de bons de souscription, les opérations avec des obligations remboursables ou encore la tenue des comptes de la holding. Un travail qui nécessite une qualité sans faille pour soutenir notre développement.

    Elisabeth Kimmerlin, 56 ans – Gérante d’une TPE

    J’ai créé, il y a 5 ans, la société e+K Conseil, une EURL spécialisée dans le conseil pour les jeunes entreprises. Et il m’est apparu essentiel, dès le départ, de faire appel à un expert-comptable. Je sais ce que je sais faire, mais je sais aussi ce que je ne sais pas faire… Outre les chiffres et l’établissement des comptes, il m’apporte de précieux conseils et un autre regard pour situer et faire évoluer ma structure. Une association de compétences idéale pour faire face aux différentes étapes de la vie d’une entreprise.

    Emmanuel Poidevin, 37 ans – Dirigeant de la PME E-Attestations

    Quand j’ai fondé en 2008 la société www.e-attestations.com, l’appel à un expert-comptable n’était pas une option : c’était une évidence. Il est le tiers de confiance indispensable sur lequel un chef d’entreprise peut s’appuyer. Garant de la bonne gestion de l’entreprise, il est mon premier conseiller et je le consulte en amont de chaque décision stratégique ou économique, pour la gestion de ma trésorerie où lors d’éventuels contrôles fiscaux. Grâce à lui, on n’est plus tout seul dans la tempête.

    Bruno Delabarre, 51 ans – Commerçant

    J’ai le même expert-comptable qui me suit depuis 21 ans, depuis l’ouverture de ma première boucherie ! Il est la personne, avec ma femme, vers qui je me tourne avant de prendre toute décision impactant la vie de l’entreprise. Il y a un an, c’est lui qui m’a convaincu de créer la marque « La Boucherie des Terroirs » pour faciliter le développement de nouveaux points de vente. Je ne me vois pas réussir sans lui.

    Diversité et richesse des profils pour une profession qui recrute

    Vital Saint-Marc, 49 ans – Expert-Comptable Associé

    Vital Saint-Marc se rêvait physicien. Mais quelques mois avant de partir pour son service militaire, sa mère, expert-comptable, lui demande de l’épauler. Cela lui plaît. Au retour de l’armée, il franchit donc le pas et s’inscrit à l’ENGDE, boulevard de Strasbourg à Paris, une grande école qui a formé plus de 4 000 experts-comptables à ce jour. Après son diplôme et une première expérience dans un petit cabinet comptable, Vital Saint-Marc intègre MBV & Associés. « A l’époque, le cabinet comptait 25 collaborateurs. Et nous sommes 150 aujourd’hui, note-t-il fièrement. J’ai participé et je participe encore depuis 12 ans à son développement, notamment celui de sa branche conseil qui est, selon moi, l’avenir de notre profession. Les experts-comptables sont longtemps restés arc-boutés sur notre métier de base, à savoir laproduction de comptes. Mais le conseil, c’est l’avenir. »

    Elvire Sekloka, 35 ans – Expert-Comptable

    Elvire Sekloka est expert-comptable depuis 2010. C’est au Bénin, alors en classe de 3e, qu’elle prend conscience de sa vocation. « Un groupe d’expertscomptables était venu se présenter à l’école, se souvient-elle. J’étais plutôt bonne élève et à l’aise avec les mathématiques. A l’époque, c’est le mot “Expert» qui m’a plu. » (Sourire) Une fois son Bac Comptabilité en poche, elle a tracé son chemin pour obtenir successivement son DCG, son DSCG et enfin son DEC. « J’ai effectué le parcours classique, autrement appelé voie royale », souligne-t-elle. Son stage préparatoire au DEC, elle l’effectue au sein du cabinet IB Associés, avenue de la République à Paris. « Ce qui me plaît dans ce métier, c’est le contact et la relation client. On ne s’ennuie jamais. L’expertise-comptable va bien au-delà des comptes et des bilans. C’est du conseil. Et pour rassurer son interlocuteur, il faut souvent bien connaître sa vie personnelle. » Aujourd’hui, Elvire Sekloka prodigue ses précieux conseils chez ES-Audit.

    Bénédicte Jaunatre, 27 ans – Collaboratrice

    Bénédicte Jaunatre travaille au sein du cabinet Primexis à La Défense. Après des études en école de commerce et une spécialisation en Audit / Expertise-comptable, elle intègre ce cabinet de 300 collaborateurs. C’était il y a quatre ans. En 2013, elle validera son DSCG. Sa vocation, Bénédicte Jaunatre l’a découverte sur les bancs de l’école de commerce où on touche à tout, les matières financières, comptables, juridiques… La possibilité d’être en contact avec de nombreuses entreprises de divers secteurs l’a convaincue de se spécialiser, avec une préférence pour l’expertise, le rôle de conseil précieux à ses yeux étant plus marqué qu’en audit. Bien loin de l’image de la cravate trop serrée de l’expert-comptable, Bénédicte Jaunatre met en exergue le métier de conseil, d’accompagnement, d’écoute et de recherche de solutions. « C’est stimulant intellectuellement car nous devons mettre en permanence nos connaissances à jour pour mieux appréhender les nouveautés de la profession » souligne-t-elle. Chez Primexis comme dans d’autres grands cabinets, l’opportunité d’accéder rapidement à des postes d’encadrement la convainc encore un peu plus chaque jour de la justesse de ses choix.

    Magalie Poiet, 29 ans – Stagiaire

    Magalie Poiet est stagiaire au sein d’un cabinet à Levallois-Perret. Après un BEP Comptabilité puis un Bac STT Comptabilité-Gestion, elle a obtenu son DCG et est sur le point de décrocher, d’ici peu, son DSCG. « C’est un enjeu extrêmement important pour moi », explique-celle dont l’objectif suprême est d’obtenir son DEC. « Allier études et activité professionnelle est une équation à la fois passionnante et exigeante », souligne Magalie Poiet. Et pour aider tous les aspirants au diplôme d’expert-comptable, elle est devenue la présidente pour l’Ile-de-France de l’ANECS (Association Nationale des Experts-Comptables et Commissaires aux Comptes), qui compte 485 stagiaires adhérents sur la région. L’association est là pour soutenir les stagiaires dans leurs examens. Tous travaillent ensemble pour décrocher leur DEC et des réunions d’information sont régulièrement organisées pour rendre compte des évolutions et de l’actualité du métier.

    Propos recueillis par Tristan Corell


    Un accès facilité au crédit pour les TPE grâce aux experts-comptables !

    Depuis juin 2011, le Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts-Comptables facilite l’accès au financement bancaire des TPE pour des besoins inférieurs à 25 000 €. Pour cela, l’Ordre a signé quatre conventions de partenariat avec les réseaux bancaires : Banques Populaires, LCL, Crédit du Nord et Crédit Agricole. Ce procédé raccourcit à 15 jours (au lieu de 2 mois) les délais d’examen de prêts par les banques en s’appuyant sur l’expert-comptable, vecteur de confiance. Un dossier modélisé de demande de financement peut être téléchargé sur le site www.financement-tpe-pme.com.

    Les cursus à suivre pour devenir expert-comptable

    L’expertise-comptable est une filière d’avenir qui recrute et propose de belles perspectives d’évolution, en termes de responsabilités et de salaires. Les chiffres en attestent. Il y a aujourd’hui 19 000 experts-comptables en activité avec près de 150 000 collaborateurs. Les besoins de la profession tournent autour de 10 à 15 000 nouvelles embauches chaque année, dont en moyenne 1 000 experts-comptables. Sur le site d’annonces d’emploi de l’Ordre www.experts-comptables.fr, plus de 2 000 offres d’emploi sont ainsi postées chaque année.

    « Grâce à leur cursus et à la formation continue requise, les experts-comptables bénéficient d’un large choix d’orientation de carrières, et d’une grande mobilité professionnelle », précise Jean-Marie Vial, Président de la Commission formation professionnelle au Conseil Supérieur de l’Ordre. Dans les cabinets structurés de 10 à 15 personnes, la spécialisation est de mise. Le social, par exemple, n’est pas réparti entre toutes les personnes mais se trouve entre les mains d’un référent. Il en va de même pour le suivi juridique qui, en fonction de la taille du cabinet, est confié à un juriste. « Nous proposons des formations continues pour développer des certificats, souligne Jean-Marie Vial. Avec le Centre de Formation de la Profession Comptable, nous soumettons des parcours de 10 à 15 jours afin que les collaborateurs puissent se spécialiser. » Il existe plusieurs formations menant au métier d’expert-comptable mais il n’y a pas à proprement parler d’école d’expert-comptable puisqu’il s’agit d’un cursus universitaire qui se fait en trois étapes : le Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG = Bac+3, examen final de treize unités), le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG = Bac+5, examen final de sept unités) et le Diplôme d’Expertise Comptable (DEC = Bac+8 dont 3 années de stage pratique qui permettent de gagner sa vie tout en acquérant une solide expérience professionnelle).

    D’autres filières permettent d’accéder à la profession : outre le cycle classique universitaire, il est possible de mener une formation en école privée (type École Supérieure de Commerce) ou une formation continue en alternance ou en apprentissage. Il est donc permis, quel que soit le profil de l’étudiant et son parcours initial, d’intégrer le cursus comptable à différents niveaux.

    Des équivalences sont en effet prévues à partir d’autres diplômes : Master 2 CCA, IEP, Licence et Maîtrise d’administration économique et sociale ou de sciences économiques (DEUG, DEUST, Licences, Maîtrises), cycles finances comptabilité des BTS comptabilité et gestion, DUT gestion des entreprises et des administrations, diplômes de l’INTEC (CNAM) ou encore, certains diplômes étrangers. Une autre voie permet encore d’obtenir le diplôme d’expert-comptable : la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). La VAE est une filière complémentaire aux examens en valorisant des parcours professionnels. Elle prend en compte le concept de compétence qui comprend trois composantes : les connaissances, les aptitudes et le comportement. Le candidat doit justifier d’au moins 3 années d’activités salariées, non salariées ou bénévoles en rapport avec le champ du DCG ou du DSCG. Tous les types de contrats sont pris en compte à l’exception des contrats conclus pour la préparation d’un diplôme ou d’un titre. Chaque année, 250 étudiants obtiennent ainsi le DCG via la VAE et 45 obtiennent le DSCG. Une nouvelle preuve que si tous les chemins mènent à Rome, quelques-uns d’entre eux mènent aussi à l’expertise-comptable. S’ils sont nombreux à exercer en libéral, beaucoup d’experts-comptables ont débuté comme salarié au sein d’un cabinet. Ce choix leur permet d’approfondir leur savoir-faire et de nouer des contacts qui faciliteront leur installation ultérieure en libéral. Les rémunérations des experts-comptables sont aussi un facteur d’attractivité méconnu. Les salaires varient en fonction du niveau de qualification et du nombre d’années d’expérience. Un débutant diplômé à Bac plus 2 (BTS ou DUT) est assuré d’un salaire moyen de 22 K€ annuels et peut émarger à 54 K€ en fin de carrière. Pour les diplômés de licence et plus, les salaires entre un débutant et un « senior » oscillent entre 25 et 66 K€ brut annuels.

    Charles Gaudin

    Formation continue à la Cité des Compétences

    En parallèle du 67e Congrès de l’Ordre des Experts-Comptables, est organisée, pour la 1re fois, une Cité des Compétences dédiée aux collaborateurs des cabinets. On y trouve toute la panoplie de la formation continue permettant d’appréhender un métier en perpétuel mouvement. Près de 1 000 étudiants sont également conviés, les 4 et 5 octobre, pour en savoir davantage sur les métiers et les opportunités d’évolution au sein de la profession.

    « Généralement, les jeunes se projettent mieux dans les métiers qu’ils connaissent, souligne Laurent Benoudiz, Vice-président de l’Ordre Paris IDF. Or, s’agissant des professions libérales, ils fréquentent les médecins et connaissent les avocats via la fiction littéraire ou cinématographique, mais ils connaissent mal notre métier. » La brochure « Graine d’expert-comptable », destinée aux adolescents de la 4e à la 2nde, a vocation à créer un imaginaire de nature à susciter des vocations et montrer que l’expertise-comptable n’est pas un métier fait uniquement de calculs mais qu’il revêt une forte connotation sociale et managériale. Téléchargeable sur le site de l’Ordre des Experts-Comptables Paris Ile-de-France
    (www.oec-paris.fr), elle est aussi distribuée dans les collèges et les lycées.

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